"le Châteaux" de Kafka, un voyage éternel

Finalment, je l'ai fini, ce livre extraordinaire. Il y avait cinq ans, j'avais commencé à le lire en version chinoise parce que mon professeur du chinois au collège m'avait dit que c'était un livre qui serait impossible pour nous de lire jusqu'au bout. Aujourd'hui, cependant, je suis fière de lui dire que j'ai fini à le lire en version français.

Kafka a écrit ce livre se sentant qu'il était proche de le fin du monde. Néanmoins, il faut lire ce livre ayant  une attitude positive malgré la nuance qui ne quitte jaimais les scènes. Monsieur K, pauvre pauvre arpenteur, il n'arrivera jamais jamais au château. Et le pire, les habitants locaux ne cessent pas lui moquer et l'éviter de s'intégrer.

Le destin de K. est dans l'obscurité. Le seul travail auquel il est destiné est dans les yeux des autres, une blague. Chauqe fois quand il se sent proche du château ayant obtenu quelque sorte de confirmation comme une lettre d'un monsieur du château, un événemément bloque le passage. Chaque fois il abandonne presque sa tâche, un nouvel espoir lui arrive. La condition l'agace tandis qu'il est aussi pris dans ses affaires d'amour avec Frieda et les expériences avec Olga et Amalia.

"S'il nous montre la vie humaine perpétuellement troublée par une transcendance impossible, c'est qu'il croit à l'existence de cette transcendance. Simplement, elle est hors de notre atteinte. Son univers est à la fois fantastique et rigoureusement vrai." a dit-il Jean-Paul Sartre.

Alorsque ce livre est psychologiquement difficile à comprendre, j'essaye de chercher son sens. Le château impossible à atteindre représente un but qu'on poursuit toujours. C'est vrai que quelquefois dans la vie, on est perturbé par cela. On ne sait pas que cela n'existe pas alors qu'on ne s'arrête pas à essayer de s'y approcher.

Il n'y a pas de fin, le récit est inachevé. L'auteur nous laisse un grand espace d'imagination, ce qui a rendu ce roman plus extraordinaire. Le voyage est vraiment éternel, et c'est à nous à continuer.